7 roman thierrybis

7 roman thierrybis

 

Une première lecture pour cette saison:

Au fil d'Isis... & Les trois épreuves d'Isis

deux recueils de textes mêlant prose et poésie !

 

 

Une deuxième lecture:

Raconte-moi Mozart...

un cinquième roman se déroulant au coeur des Alpes-de-Haute-Provence !

 

 

Une troisième lecture:

Auprès de ma blonde

Le sixième roman, un suspense psychologique !

 

 

Une quatrième lecture: son dernier roman !

Connectée

Un roman dans l'air du temps!

 

Charme, Légèreté, Humour et Convivialité sont les mots-clés de ce site.

Top du web catégorie littérature, référencement optimal, de l'inédit, à consommer gratuitement et sans modération !

 

 

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Avis, humeurs, annonces, critiques, commentaires,...répondez-moi sans contrainte.

Dans Partage II

File de la stupeur, par Thierry-Marie Delaunois écrivain

Par Le 23/03/2020

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CONFITURES ET DéCONFITURES du CONFINEMENT, chronique

 

I : File de la stupeur

 

Mon Dieu, si j'avais su qu'un jour... à cette époque... c'est pas possible... je n'y crois pas... quelle affaire... c'est la fin, la fin... pas trop près, s'il vous plaît... mais pourquoi cette file n'avance-t-elle pas? Réellement toute la gamme des réflexions, stupeur et angoisse mêlées, contrôle et maîtrise de soi de l'ordre de l'inconcevable tant cette situation est inédite, singulière, presque surréaliste. Un virus nommé Covid-19 par les scientifiques a décidé de décimer la planète, ne faisant que peu de quartier, s'attaquant en premier aux plus vulnérables. Chaos prévisible?

Bigarrée, la file d'attente se révèle insolite, nerveuse, l'un observant avec inquiétude le ciel bleu, l'autre d'un air perdu ses baskets, un autre encore les êtres faisant la file comme lui, ceux-ci se tenant à distance respectueuse les uns des autres. Surtout ne pas se laisser approcher pour éviter de se faire contaminer par ce maudit virus importé de Chine. D'une contrée devenue plus que douteuse pour toute la planète. Se parler, même à distance, est-ce sans danger? Vole-t-il, l'animal, pour atterrir soit sur le nez, soit sur les lèvres, soit sur la bouche? Les regards sont ternes, habités du gris de l'angoisse: le souci n'est pas mince, non c'est bien plus qu'un souci en fait, une calamité même! Comment cela a-t-il pu se produire? L'heure est grave.

Certains ont remonté leurs écharpes devant leurs bouches, d'autres portent d'étanches gants en latex, d'autres encore un masque de protection qui leur dissimule la moitié du visage. Se protéger, à tout prix, le mieux possible, du virus, des autres, le maître-verbe quitte à se faire juger, mal voir! Se préoccuper du regard de l'autre, si pas carrément de l'autre, en ces temps troublés? L'utopie suprême manifestement!

La file... mais pourquoi? Dans le supermarché on accepte en fait un maximum de quarante clients simultanément, pas davantage, et ils doivent se tenir à un minimum de un mètre cinquante les uns des autres, le règlement par carte bancaire privilégié, alors qu'à l'entrée un gardien de la sécurité soucieux veille à ce que chaque consommateur se désinfecte convenablement les mains avant de pénétrer dans les lieux. Lorqu'un client quitte enfin le supermarché, un autre peut entrer, charrette hurlante et ruante qui se remplira au fur et à mesure de la quête des produits tant convoités. Le Graal du consommateur. Un code de la route intérieur? Les charrettes et chariots vibrent, virent, se frôlent, s'arrêtent brusquement, causant à l'occasion un début de panique chez le quidam le plus proche, mais pas trop, qui bientôt s'éloigne, le regard en coin. Atteint du virus, le bonhomme? Non, il n'a ni éternué ni toussé, déjà un bon point! Psychose latente...

Ces mots en p? Je commence vraiment à les appréhender, ils sont tous liés au... problème! Pénétration, propagation, pandémie, protection, peur, psychose, panique, pénurie, et j'en passe certainement.

Pénurie... Mince alors! Pâtes, cafés, sucres, confitures et papiers absorbants se sont tirés de leurs rayons pour se précipiter dans les charrettes poussées par des clients avides (à vide?). Ne pas louper le dernier article dont ils ont besoin - et encore -, quitte à heurter les autres dans leur sensibilité. Concurrence, folle compétition, course effrénée au produit qui leur sauvera non pas la vie mais l'estomac. Pour ne pas dire l'ego. Est-on bien sur terre, cette planète censée humaine où sans partage règnent la solidarité et la tolérance? Où devraient régner...

Les seniors? Dignes et respectueux: ils attendent leur tour, purement et simplement, la plupart l'air stoïque, d'autres dévisageant des jeunes aux comportements des plus suspects, sans doute prêts à dépasser le distrait pour pouvoir s'enquérir le plus rapidement possible de leurs paquets de chips avant que le rayon ne soit totalement délesté. Concurrence, folle compétition, des gagnants et des perdants comme toujours. Rien ne change.

Le supermarché passage obligé: s'alimenter est primordial et pour y parvenir, il faut se réapprovisionner. Aucune alternative, le braquage étant puni par la loi. De nombreuses boutiques ont dû fermer leurs portes temporairement pour éviter toute contamination. Le non-alimentaire principalement. Espérons qu'il y ait le moins possible de bilans déposés au bout du compte, ce virus ne faisant manifestement point dans la dentelle. Décès d'êtres humains, décès de commerces, du stress et de l'angoisse en permanence avec le danger d'états dépressifs et de burnout, chemin faisant. Nos nerfs sont mis à rude épreuve, le confinement forcé pouvant mener à l'asphyxie mentale et pas seulement! Tenir le coup, s'en sortir, oui mais comment? Et si cela perdure encore dix semaines ou même davantage? C'est ici qu'entrent en scène la persévérance, la patience et la résistance - ou résilience? - aux vents et marées déferlantes déclenchés par ce sinistre barbare venu nous plomber l'air.

L'air, "une épaisseur à laquelle on s'agrippe" (Christophe Guyon), qui nous est vital. Le chez soi ou sortir malgré tout? Affaire à suivre...

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Dans Partage II

Que le meilleur gagne?, par Thierry-Marie Delaunois

Par Le 21/05/2019

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  Lors de concours, de compétitions, même de confrontations, on entend souvent une personne s'exclamer "Que le meilleur gagne!", tout le monde applaudit alors les concurrents en lice. Que le meilleur gagne? Est-ce réellement toujours le meilleur qui gagne? N'y a-t-il jamais plus d'un participant qui mériterait de gagner? Est-ce que l'on tient compte des efforts accomplis pour parvenir à un tel niveau: la finale? Et qu'il n'y ait qu'un seul vainqueur, est-ce normal? Le monde dans lequel nous évoluons est hélas constitué des deux bords: les gagnants et les perdants. Tu n'as pas gagné? Tu es dans ce cas catalogué parmi les perdants  même si ton niveau est exceptionnel  et tu peux te mettre à penser que tu n'as finalement aucun talent. Le jury est d'une  impartialité sans faille, n'est-ce pas? Si tu n'as pas gagné, c'est que tu ne le mérites sans doute point. Le jury...ses membres votent bien sûr en fonction de divers critères et de leur sensibilité, alors que faut-il en penser? Il suffit de si peu, me semble-t-il.

  C'est le meilleur qui gagne...non, ce n'est pas toujours le cas! N'a-t-on pas déjà vu par le passé un deuxième ou un troisième prix faire une brillante carrière tandis que le premier disparaissait après avoir été le temps d'une saison au sommet? Impitoyable se révèle le classement. Le verdict du jury dont nous ne nierons point la compétence car ce sont la plupart du temps des spécialistes et experts en la matière qui siègent et décident. Il suffit parfois d'un seul point pour faire le bonheur de l'un et le malheur de l'autre; généralement le second et les suivants sont rapidement oubliés. Vive le premier prix, il le mérite! Et les autres? Sont-ils de moindre talent?

  Prenons un exemple éloquent, celui du concours musical international Reine Elisabeth! Vingt-quatre virtuoses, tous très bons interprètes, rêvent d'une place en finale mais seulement douze d'entre eux y accèderont sur base d'un nombre de points qu'ils auront acquis et parmi eux, seuls les six premiers seront classés: premier prix, deuxième prix,... Le public, très enthousiaste, également très attentif, s'attend à voir parvenir en finale deux candidats manifestement brillants mais stupeur: le jury ne les a finalement pas retenus! Que s'est-il passé? Mystère...non, pas vraiment! Ce fut probablement très serré! Plus de douze candidats méritaient à coup sûr d'être sélectionnés mais il y a le règlement: ce sont ceux qui ont obtenu le plus de points qui passent! Faut-il alors les considérer comme moins bons que les autres et, à l'issue de la finale, estimera-t-on que le deuxième prix a moins de talent que le premier prix? Voilà où mène toute forme de compétition: à une sélection drastique qui ne devrait pas être!

  Nous avons en fait vingt-quatre candidats tous méritants qu'il ne faudrait pas classer, même davantage! Tous de magnifiques interprètes dont il faut reconnaître la valeur et le talent mais le monde est ainsi fait: il faut un premier! Le meilleur a gagné? Nous savons à présent ce qu'il en est! Très probablement!

  Ceci s'applique également à d'autres domaines de la vie et de l'art. En littérature, nous avons le Goncourt, le Rossel, le Renaudot, le Medicis, etc...et pour l'ensemble de ces prix, il n'y a généralement qu'un seul élu dont nous retenons le nom, quant aux autres... Qui se souvient du nom des trois autres finalistes des derniers Sabam Awards par exemple? Ceux-ci sont pourtant connus et même reconnus! Que le meilleur gagne? C'est à voir, n'est-ce pas?

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Dans Partage II

Oui, vous pouvez savoir..., par Thierry-Marie Delaunois

Par Le 04/03/2019

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Soyons francs, je n'ai pas pour habitude de m'exprimer ainsi mais je m'y risque malgré tout. Certains et certaines penseront que je joue tout bêtement la carte de l'émotion ou que j'abats tout simplement celle-ci pour attirer l'attention sur ma production littéraire, c'est leur droit, mais s'ils prennent la peine de me lire jusqu'au bout, je suis persuadé qu'ils changeront d'avis.

Au cours de ma vie, j'ai traversé une épreuve difficile que certaines personnes de mon entourage ont préféré qualifier de réellement pénible, épreuve qui, pour moi, s'est étalée sur environ trois décennies, oui, vous avez bien lu, trois, et cette souffrance est en rapport étroit avec l'état de santé déplorable d'un membre de ma famille décédé en 2003. De son vivant, l'émotion que je ressentais a toujours été contenue, retenue, non dite. Le barrage n'a jamais cédé pour libérer son flot. Après sa disparition, j'ai vécu une singulière période: j'étais convaincu que toute l'émotion allait se déverser et déferler tel un torrent impétueux mais rien n'a surgi. Le blocage a persisté durant quelques années jusqu'à ce que, surprise, cela ne commence à venir. Non des larmes mais des mots, et si vous connaissiez leur pouvoir!

Mon nouveau roman, le septième, lève un coin du voile sur ce pan de ma vie que je n'ai jamais vraiment extériorisé, ceci par l'intermédiaire d'un personnage de fiction que j'ai rendu parfaitement crédible. "Connectée" représente un aboutissement semblable à une libération et un certain soulagement a suivi. L'écriture libère l'esprit et l'âme du non dit, du non raconté, les pensées se métamorphosant en mots qui permettent à l'être de passer ensuite à autre chose, de poursuivre sa vie. Des séquelles? On ne sort jamais indemne d'une longue et pénible épreuve et notre mémoire est là pour nous rappeler ce vécu mais le deuil est malgré tout accompli. Cette traversée peut-elle changer profondément une personne? C'est fonction du tempérament mais n'oublions jamais qu'accepter, ce n'est ni renoncer ni échouer.

Souhaitez-vous en apprendre davantage sur cette épreuve que j'ai évoquée? Plongez alors dans "Connectée" et laissez-vous aller! Merci de votre attention!

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Dans Partage II

Vous avez un message, par Thierry-Marie Delaunois

Par Le 11/01/2019

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  Tu ne sais pas qui tu es réellement? Tu ne connais pas tes propres talents et tu te cherches? Tu as pourtant du potentiel, de la valeur, une valeur que tu ignores encore à cet instant mais que tu finiras bien par découvrir!

  Tu ne sais pas exactement ce que tu aimes et ce que tu n'aimes point? Eloigne de toute façon de toi toutes les pensées négatives qui pourraient t'assaillir, écarte de ton chemin l'indifférence, le mépris et la haine, tes relations avec les autres s'amélioreront sans conteste par une attitude chaleureuse, heureuse. Sache que le positif attire le positif. Le sourire et la bonne humeur sont contagieux. Tente le coup et vois le résultat!

  Tu ne sais pas comment t'y prendre pour découvrir qui tu es? Pour découvrir ces trésors qui se dissimulent au fond de toi? Est-ce par l'introspection ou la méditation, éventuellement, que tu trouveras? Ce n'est de toute façon pas en t'isolant que tu permettras à ton potentiel d'éclater, c'est le contact avec le monde extérieur et les peuples qui l'occupent, qui te permettra de trouver. Le monde, avec toute sa complexité, est en réalité bon professeur: il te révèlera avec le temps ce que tu vaux réellement. Les affinités, tes prédispositions, tes domaines de prédilection,... L'exploration de l'extérieur te permettra de découvrir ton intérieur, de te découvrir intérieurement.

  Vois, observe, sens, touche, ressens, écoute, aime, partage, souris, ris, chante et surtout vis avec cette foi en tes capacités émergeantes! Ouvre-toi, accepte l'autre, respecte-le sans réserve et ton sixième sens fera le reste et la différence! Tu aimes cette chose-là? Cueille-la! Celle-là, tu ne l'aimes pas? Ignore-la!

  Tu sens que tu changes intérieurement? Que tu évolues positivement? Cela signifie que tu éclos ceci grâce à ton exploration de ce qui t'entoure et ta capacité, qui s'est développée, à discerner ce qui te convient de ce qui ne te convient pas. Mes félicitations!

  Et si tu stagnes ou si cela ne va vraiment pas, que faire? Si quelque chose ou quelqu'un te paralyse ou te bloque dans ton cheminement? Ton développement personnel? Il te faut alors détecter la source du problème ou du mal. Souvent il ne faut pas chercher loin la solution qui est à portée de mains ou de pensée: soit dans ton entourage, une ombre nocive à écarter par exemple, soit dans ton propre passé qui peut dissimuler l'un ou l'autre traumatisme à débloquer en urgence.

  Te faire aider? Toujours! Dans certaines situations de détresse, le soutien est indispensable, capital, et fierté et orgueil sont à maîtriser, à contrôler pour pouvoir revenir. C'est un sacré parcours du combattant et il faut continuellement se défendre ou se battre? Mais à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire, paraît-il, même si l'on est seul concerné et une fois vainqueur, tu ressentiras une telle satisfaction que cela se verra du dehors. Tu rayonneras par ton attitude conquérante, positive. Energie!

  Ce que tu auras appris de ton parcours personnel vers cette libération? N'hésite pas à l'enseigner, peut-être feras-tu un heureux ou une heureuse qui, en retour, finira par t'aimer. Imagine! Être aimé et de manière inconditionnelle, le top pour l'être humain! Bonheur et allégresse au quotidien en perspective!

  Nous parlions d'exploration et c'est un terme à prendre au sens large: plusieurs types de voyages nous attendent mais aller tout simplement vers l'autre sans peur et sans arrière-pensée est certainement le plus noble à effectuer. Ecoute-le, comprends-le, si possible, compatis, réconforte et soutiens l'autre sur sa propre route, et vois! Si vous êtes compatibles, car ce n'est pas toujours le cas, des merveilles en sortiront mais prends garde: sincérité et franchise sont essentielles pour que surgisse l'exceptionnel. Et pourquoi pas l'amour? Même si tu as l'impression de ne pas être aimé dans ta vie, adopte l'amour! Conduis-toi en amoureux des êtres et de toutes choses, et n'oublie jamais de te servir de ton intuition car, au carrefour, c'est elle qui te fera prendre le bon chemin! Le monde? Parfois un labyrinthe mais il y a toujours au moins une issue. Laquelle? Toi seul sais celle qui te convient, elle est en toi et t'attend...

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Dans Partage II

2018: des publications et des rencontres pour Thierry-Marie Delaunois

Par Le 27/12/2018

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 Un petit bilan? 2018 fut une année très littéraire pour Thierry-Marie Delaunois (plus que 2017):

 

 - Deux publications: une pièce (ou roman en trois actes) et une nouvelle dans une collection;

 

 - Une nomination-surprise pour son sixième roman;

 

 - L'écriture d'un septième roman dont la parution est prévue en 2019;

 

 - Des interviews et quelques conférences (un grand merci notamment à Silvana Minchella, Bou Bounoider et Philippe De Riemaecker!);

 

 - Des Soirées des Lettres, littéraires, et des présentations et lectures publiques diverses;

 

 - Des présences en dédicaces à Bruxelles, Braine-l'Alleud, Paris, Knokke, Waterloo, Arlon, Braine-le-Comte, Mons...et à nouveau Bruxelles;

 - Une vingtaine de chroniques littéraires sur son site web et une petite dizaine de chroniques d'événements littéraires;

 

 - Des présences dans quelques revues et magazines littéraires dont "Bruxelles culture";

 

 - Quelques coups de pouce à d'autres auteurs;

 

 - Des rencontres notamment avec Eric-Emmanuel Schmitt, Bernard Werber, Amélie Nothomb, Grégoire Delacourt et Adeline Dieudonné;

 

 - Quelques recensions et passages en radio pour "Auprès de ma blonde", le sixième roman: BXFM et Radio Air Libre;

 

 - Un mois de décembre haletant... et sans "Syncope"!

 

MERCI à tous ceux et celles qui ont contribué de près ou de loin à la "réussite" littéraire de cette année!

 

2019 sera une année un peu plus calme dans l'ensemble sur ce plan!

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Dans Partage II

C'est qui, Thierry-Marie Delaunois? par A.Mignolet

Par Le 13/11/2018

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Thierry-Marie Delaunois, employé, assistant de laboratoire clinique (initialement)

 

Auteur/écrivain, chroniqueur, lecteur-animateur

Membre sociétaire de l'Association des écrivains belges de langue française

Membre du réseau Arts et Lettres (Robert Paul)

Facebook, twitter, google+, Linkedin, Viadeo,...

 

Auteur

 

Neuf publications dont six romans et un texte destiné au théâtre: "Sur sa faim!"

Thèmes principaux: la complexité des relations humaines, "L'union fait la force", la recherche du positif et du bonheur, le pouvoir et la puissance des souvenirs

Mots-clés: Respect, rencontre, écoute, compassion, transmission, humour

"L'île joyeuse" et "Auprès de ma blonde" ont contribué à le faire connaître du public.

 

Chroniqueur

 

La plupart de ses lectures font l'objet, sur son site, d'une chronique, c'est-à-dire d'un ressenti personnel de lecture. Tous genres littéraires abordés, plus de 80 chroniques actuellement en ligne.

 

Lecteur-animateur

 

Présentation d'auteurs lors de soirées littéraires: parcours, bibliographie, sens et message de l'oeuvre.

Lectures publiques au sein d'un groupe amateur de lectures tous genres confondus.

 

Parmi ses publications, signalons:

 

"L'île joyeuse" (roman): Paris, le lycée Paul Valéry: Yin, 16 ans, s'attache tout doucement à Arthur, son professeur de français, point de départ d'un drame psychologique et romantique qui met en scène des adolescents en recherche d'eux-mêmes au seuil de la vie.

 

"Raconte-moi Mozart..." (roman): Oscar, personnage vieillissant, seul et aigri, amoureux de grande musique, voit sa vie bousculée et basculer quand il rencontre une gamine sept ans plutôt fantasque et délurée. Drame psychologique.

 

"Auprès de ma blonde" (roman): Une belle blonde se tient sur un banc dans un parc enchanteur à proximité d'un lac réputé dangereux, elle a un secret ainsi qu'un comportement relativement étrange lorsque André, auteur en promenade, la rencontre et l'aborde... Suspense psychologique.

 

"Au fil d'Isis" et "Les trois épreuves d'Isis": Mini-roman en deux parties, ponctué de poèmes, de nouvelles et de réflexions. On suit le parcours peu ordinaire de Isis, une jolie femme rousse abordant la quarantaine, tourmentée par les récents attentats de Paris...

 

Thierry-Marie Delaunois également mélomane et amateur de rencontres notamment...

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Dans Partage II

Bienfaits et saveurs de la lecture, par Thierry-Marie Delaunois

Par Le 16/10/2018

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  Lire... L'on sait que tout le monde n'aime pas lire...et il y a lire et lire! Entre se plonger dans un roman et lire une recette, par exemple, il y a un monde! Pourtant on peut accorder autant d'attention à l'un comme à l'autre, c'est selon! L'intérêt de l'un n'est pas forcément celui de l'autre. Qui se forcerait à lire quelque chose qu'il n'a pas vraiment envie de lire...à moins qu'il ne s'agisse du mode d'emploi d'un nouveau gadget électronique? Celui, ou celle, qui ne lit jamais une seule ligne ne sait pas ce qu'il, ou elle, rate car la lecture, à long terme, a des effets quasi miraculeux sur la personne qui la pratique avec régularité.

  De nombreux bienfaits surgissent, que la lecture soit silencieuse ou publique et qu'il s'agisse d'un roman, d'un poème, d'une nouvelle ou de tout autre genre littéraire, certains sont bien connus tandis que d'autres le sont moins, passant inaperçus mais pourtant bien là. Réels.

  Le saviez-vous? Tout comme la construction d'un puzzle ou une partie d'échecs, la lecture stimule le cerveau, l'active, faisant fonctionner nos neurones, ralentissant du coup l'apparition éventuelle de la maladie d'Alzheimer ou de la démence grâce à une activité cérébrale régulière. Réfléchir, c'est bon pour la santé...mais pas trop!

  La lecture diminue aussi la tension, le stress, l'anxiété, l'avez-vous expérimenté? Si un article se révèle intéressant, même captivant, nous décrochons du reste, concentrés sur notre seule lecture. Avec un roman dont l'écriture est maîtrisée et la construction solide, nous pouvons atteindre une autre dimension, un univers parallèle, à condition d'aimer cela bien sûr. Lire, c'est bon pour la santé! Réellement.

  Un autre bienfait reconnu et non le moindre, c'est l'amélioration considérable de nos connaissances: notre savoir s'élargit, s'étend, nous devenons des experts, des érudits, des personnes plus que cultivées, chose utile et même indispensable pour les salons de thé ou autres que nous fréquentons...si nous en fréquentons! Et qui dit nouvelles informations pense souvent nouveaux défis. Supermen et superwomen en puissance, nous accroissons aussi notre vocabulaire. Des mots nouveaux pour le langage quotidien, c'est un fameux atout et la confiance en soi s'en trouve renforcée, nos écrits s'améliorant dans la foulée et le champ des possibilités s'étend pour faire notamment carrière dan un secteur où les mots s'avèrent primordiaux. Essentiels et indispensables.

  Nos connaissances et notre vocabulaire s'améliorent, nous venons de le mentionner, mais aussi notre mémoire: pour bien comprendre ce que nous lisons, il nous faut souvent retenir beaucoup de noms, entre autre, et nous nous solidifions le cerveau, de nouvelles synapses se créant et effet régulateur sur l'humeur également garanti! C'est vraiment bon pour la santé, la lecture!

  Est-ce que tout aurait été dit? Non, la lecture a encore d'autres atouts: elle ne manque pas de développer nos capacités d'analyse, nos aptitudes critiques et analytiques. Découvrir qui est le coupable avant la fin? Cela se produit et c'est bon signe! Intuition, clarté et raisonnement au rendez-vous de nos neurones, l'attention et la concentration sur l'intrigue accrues! Vingt minutes minimum de lecture ont, paraît-il, un effet très positif sur la productivité. Lire, c'est réellement la santé!

  Au fait, avons-nous déjà mentionné que la rédaction s'en trouve améliorée? Succinctement! L'écrit se perfectionne, le style se fluidifie, la cadence de moins en moins heurtée par l'utilisation abusive d'adjectifs et d'adverbes en fin de compte inutiles. C'est souvent au cours de la seconde lecture que l'on prend vraiment conscience du superflu: des "donc", des "en fait", des "en effet" alors disparaissent...pour le meilleur!

  Tranquilliser l'esprit? Encore un bienfait de la lecture synonyme ici de relaxation, générant une agréable paix intérieure mais c'est fonction des thèmes évoqués. Un roman au scénario de film-catastrophe n'aura pas les mêmes effets que la lecture d'un roman plus intimiste ponctué de réflexions existentielles.

  Un divertissement? La lecture peut aussi l'être, l'existence de médiathèques, de bibliothèques et de sites de téléchargement en facilitant l'accès qui est souvent gratuit, une aubaine pour le portefeuille! Enfin convaincu de l'utilité - façon de parler - des auteurs et écrivains? Si ce n'est toujours pas le cas, essayez et trouvez ce qui vous convient le mieux par des lectures sporadiques pour commencer, sans jamais vous décourager. Et le saviez-vous? Il existe, pour chaque personne aimant et sachant lire et écrire, un genre littéraire qui captera davantage son attention et activera son imagination. Vous doutez toujours de l'efficacité de la lecture sur votre bien-être? Vous courez alors le risque qu'un jour vous ne ferez plus que lire les notices de médicaments que l'on vous a prescrits. A bon entendeur!

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Dans Partage II

Mes félicitations!, par Thierry-Marie Delaunois écrivain et chroniqueur

Par Le 16/08/2018

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  "Le saviez-vous? Lorsque l'occasion se présente, je ne manque jamais de féliciter un auteur ou un écrivain quant il vient d'être publié, qu'il s'agisse d'un premier ou d'un énième ouvrage et quel que soit la maison d'édition qui a vu dans l'auteur et son ouvrage une opportunité, celle de séduire, c'est-à-dire de vendre. Notamment. Pourquoi? S'il s'agit d'auto-édition ou s'il est publié chez un éditeur à compte d'auteur, quel intérêt y aurait-il à féliciter l'auteur, se demanderont certains? Il n'a pas atteint le Panthéon, le Graal, la qualité requise pour "siéger au sommet", semblerait-il, alors pourquoi?

  Sait-on en fait ce qui se cache derrière toute publication? Ce parcours vécu par l'auteur, parfois un parcours du combattant, jusqu'à la parution de son livre? De l'idée à la publication, il peut facilement se dérouler trois ans, même plus, comment cela se fait-il? La mise en place de tous les éléments, l'histoire, les personnages, le contexte qu'il soit historique ou d'un autre ordre, l'écriture en elle-même, les inévitables corrections, la relecture finale, décrocher une maison d'édition, le processus éditorial menant à la publication, voilà ce que l'on trouve entre l'alpha et l'omega de ce parcours, beaucoup d'énergie dépensée, d'efforts pour assouvir sa passion, et je sais que cela implique aussi parfois quelques sacrifices, en espérant que l'entourage en pâtisse le moins possible.

  Lorsque je félicite un auteur, c'est ce tout que je félicite, cette excitante odyssée émaillée de hauts et de bas, de joies et de découragements passagers jalonnant ce chemin jusqu'à l'aboutissement qui n'est pas toujours ni nécessairement une délivrance. Une libération (nous reparlerons de ceci). Selon moi il faut le faire surtout si l'on exerce parallèlement d'autres activités. "Mes félicitations, cher auteur, pour être parvenu au bout de ton projet. Chapeau!"

  Pas la qualité requise pour "siéger au sommet": idée reçue ou déduction un peu hâtive d'un lecteur qui ne connaît point la réalité du terrain? Ne sait-il pas que le monde de l'édition est tel un univers impitoyable? Que le candidat à la publication se heurte souvent aux nombreuses contraintes éditoriales de maisons qui réceptionnent plus d'une centaine de manuscrits par mois? Les plus importantes maisons à compte d'éditeur, les traditionnelles qui ont pignon sur rue, vivent en permanence le coup de feu, se retrouvant dans l'obligation de trancher dans le vif, le refusé se voit alors contraint de frapper à d'autres portes même si son manuscrit est de qualité tant sur le fond que sur la forme. Et le saviez-vous? Un éditeur peut très bien en un laps de temps relativement court dénicher trente pépites parmi les paquets reçus et se voir contraint, pour des raisons financières notamment, de ne pouvoir publier que cinq d'entre elles et le refusé ne peut s'empêcher de se poser des questions. Ne suis-je pas à la hauteur? Mon manuscrit n'est-il pas suffisamment bon?

  Accepté ailleurs mais sans une réelle mise en valeur, il peut alors se perdre dans la masse et se retrouver peu considéré car publié par une maison reconnue comme relativement souple au niveau de sa sélection, risque dont l'auteur n'est pas toujours conscient et le réveil peut se révéler brutal, les libraires et la presse entre autre jugeant l'ouvrage sans l'avoir lu et c'est la douche froide pour notre héros! Pourtant la qualité y est!

  Quelle conclusion tirer? Il faudrait que le lecteur ne rejette pas d'office un ouvrage parce qu'il n'est pas publié chez "un grand". On trouve du bon, même de l'excellent un peu partout mais n'aboutissant parfois que difficilement dans les rayons et sur les étagères des librairies. Des véritables librairies. Je persévérerai donc à féliciter l'auteur pour sa créativité et l'effort fourni pour atteindre son but et sachez que je connais personnellement pas mal d'auteurs de qualité qui ne sont pas publiés par des maisons d'édition traditionnelles. Qu'on se le dise!"

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