7 roman thierrybis

7 roman thierrybis

 

Une première lecture pour cette saison:

Au fil d'Isis... & Les trois épreuves d'Isis

deux recueils de textes mêlant prose et poésie !

 

 

Une deuxième lecture:

Raconte-moi Mozart...

un cinquième roman se déroulant au coeur des Alpes-de-Haute-Provence !

 

 

Une troisième lecture:

Auprès de ma blonde

Le sixième roman, un suspense psychologique !

 

 

Une quatrième lecture: son dernier roman !

Connectée

Un roman dans l'air du temps!

 

Charme, Légèreté, Humour et Convivialité sont les mots-clés de ce site.

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Articles de thierry-mariedelaunois

Dans Partage II

Oui, le succès, et après? par Thierry-Marie Delaunois écrivain et critique

Par Le 20/06/2012

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Naissance >> La parole >> Les mots >> Les phrases

Les phrases >> La langue >> La lecture >> La compréhension

La compréhension >> La Connaissance >> L'élévation

L'élévation >> Le partage et l'écoute >> La Reconnaissance, une forme de succès

Un fameux parcours, également très ambitieux! Mais si on ne vous aime pas vraiment, si l'on vous coupe l'herbe sous le pied, vous dénigre, vous met de côté? Si l'on n'a pas de moyens, personne vers qui se tourner, à qui se confier? Si vous avez une dégaine qui heurte ou dégagez une aura néfaste? Faut être fort en ce monde pour s'en sortir et/ou obtenir le succès. Et quel succès en fait?

Dans un cours de biologie, en préface, on trouve cette vérité (quoique...):

Phénotype = Génotype + Action du milieu

Oui, le milieu, l'environnement, le contexte, le cadre, la famille... On est finalement conditionné par une flopée d'éléments, submergé de principes et règles, et comment vivre, profiter de la vie si chaque jour est finalement survie, la faute aux autres: aux gouvernements aux mesures lapidaires, aux banques qui ne songent qu'au profit et à la rentabilité,... Le succès ne dépend-il que de soi-même? La bonne question!

Les cliclés (chés?) du succès:

1/ Faites ce que vous aimez: quand vous faites ce que vous aimez réellement, vous avez la motivation nécessaire pour parvenir au succès. C'est à voir!

2/ Perfectionnez votre travail: Il faut être fortiche dans son domaine, alors le secret c'est de pratiquer pour perfectionner son activité (professionnelle, artistique,...). Vraiment?

3/ Soyez unique: Quiconque cherche le succès n'a pas seulement besoin de trouver ses talents individuels, mais doit aussi trouver des façons de les utiliser pour obtenir de bons résultats. Hum...

4/ Croyez en vous-même: le succès est influencé par notre manière de penser. Si vous ne croyez pas en vous-même, qui croira en vous? Le pape peut-être?

5/ N'abandonnez jamais: Pour obtenir du succès, vous devez persévérer au-delà des échecs, de la critique, des rejets ou de tout autre événement négatif de la vie. Il faudrait se déconnecter pour cela, ne fût-ce que le cerveau.

Ces cinq clés, quasi tous nous les connaissons. Mais alors, comment se fait-il qu'il y ait toujours si peu de gens qui réussissent? Suffit d'observer les mines le matin dans le métro pour s'en rendre compte. Mais il y a également réussir et réussir: pour l'un, ce peut être simplement de se faire accepter et respecter, pour l'autre décrocher  un emploi rémunérateur. Alors quoi? Ces règles sont-elles à jeter?

En fait, plongeons d'abord en nous-mêmes, découvrons notre propre potentiel, tentons de donner un sens à notre vie, récoltons également les avis de l'entourage, celui-ci est souvent tel un professeur qui s'ignore.

Le succès? On est tous sur son chemin mais, le problème, ce sont les nombreux carrefours qui jalonnent le parcours, nous ralentissant, nous faisant hésiter. Aller tout droit? Tourner à gauche? Souci! Que faire? Choisir! La vie, un fameux foutoir pour certains, pas vrai?

A propos, j'arrive à un carrefour, et il ressemble au rond-point de l'Etoile. Misère!

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Dans Partage II

Péril en la demeure Littératures par Thierry-Marie Delaunois

Par Le 14/05/2012

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   Dimanche 13 mai 2012, 10h02. Je suis dans le métro, long tube d'acier traversant à vive allure la capitale de part en part. Trois personnes lisent dans mon entourage, discrètement je me penche pour découvrir les titres (Hum...). Ken Follett: Les Piliers de la terre, en anglais. Guillaume Musso: l'appel de l'ange, en Poche. Dan Brown: Da Vinci code, l'original. Quoi de plus normal que de telles lectures dans les transports en commun? Vingt minutes plus tard, correspondance. Second métro. Bien plus rempli. Deux lecteurs dans le compartiment. Je m'incline. Marc Lévy (Ah lui!): sept jours pour une éternité, en Poche. Mary Higgins Clark... le titre, impossible à déchiffrer, une main le dissimule. Réflexion: il y a encore des gens qui lisent, aiment lire; en tant qu'auteur, je me réjouis. Quinze nouvelles minutes plus tard, je rejoins la gare (ici, presque une rime), direction: la salle d'attente, et là aussi on lit: Harlan Coben et... tiens donc! Vincent Engel. Une littérature plus exigente, moins porteuse. Heureux, je sors ma propre lecture, un auteur belge plus rare (et encore!), du style, mais tout de même connu, et je m'arrange pour que ce dernier lecteur - la cinquantaine? - l'aperçoive. Vingt secondes plus tard, pari réussi. Soudain:

  - Félicitations, monsieur, pour votre choix! me dit-il.

  Satisfaction de l'intéressé (moi!). Etonnement du "Coben".

  - Merci, monsieur. Vous aussi avez...du goût!

  - Ah! Je...constate que l'on se comprend!

  Puis ce coup d'oeil en coin vers l'autre lecteur, qui m'emplit de joie. Oui, il y a littérature et littérature, le populaire et le haut de gamme, l'accroche-coeur et l'accroche-esprit. Je ne dénigre point la première catégorie, il y a du bon, je le reconnais, mais je suis extrêmement heureux de découvrir qu'on lit encore les autres, des écrivains confirmés, reconnus, dont les oeuvres retiennent l'attention par les idées et pensées développées. La littérature en perte de vitesse? Une certaine littérature réellement en déclin à mes yeux. Le lecteur cherche l'intense, l'émotion, le sensationnel la plupart du temps. Que devient la pensée? Descartes se retournerait dans sa tombe. Quel est alors le choix de l'écrivain? Soit nourrir son portefeuille, soit alimenter l'esprit du lecteur, les deux étant rarement compatibles et/ou conciliables. Pourtant quelques auteurs...écrivains, pardon, parviennent à concilier les deux avec maîtrise tel Eric-Emmanuel Schmitt. Moi dans tout cela? La croisée des chemins sans nul doute.


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Critiques prochaines sur le site:

"L'appel de l'ange" de Guillaume Musso

"L'étrange voyage de monsieur Daldry" de Marc Lévy


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