7 roman thierrybis

7 roman thierrybis

 

Une première lecture pour cette saison:

Au fil d'Isis... & Les trois épreuves d'Isis

deux recueils de textes mêlant prose et poésie !

 

 

Une deuxième lecture:

Raconte-moi Mozart...

un cinquième roman se déroulant au coeur des Alpes-de-Haute-Provence !

 

 

Une troisième lecture:

Auprès de ma blonde

Le sixième roman, un suspense psychologique !

 

 

Une quatrième lecture: son dernier roman !

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Un roman dans l'air du temps!

 

Charme, Légèreté, Humour et Convivialité sont les mots-clés de ce site.

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Articles de thierry-mariedelaunois

Dans Partage II

Bienfaits et saveurs de la lecture, par Thierry-Marie Delaunois

Par Le 16/10/2018

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  Lire... L'on sait que tout le monde n'aime pas lire...et il y a lire et lire! Entre se plonger dans un roman et lire une recette, par exemple, il y a un monde! Pourtant on peut accorder autant d'attention à l'un comme à l'autre, c'est selon! L'intérêt de l'un n'est pas forcément celui de l'autre. Qui se forcerait à lire quelque chose qu'il n'a pas vraiment envie de lire...à moins qu'il ne s'agisse du mode d'emploi d'un nouveau gadget électronique? Celui, ou celle, qui ne lit jamais une seule ligne ne sait pas ce qu'il, ou elle, rate car la lecture, à long terme, a des effets quasi miraculeux sur la personne qui la pratique avec régularité.

  De nombreux bienfaits surgissent, que la lecture soit silencieuse ou publique et qu'il s'agisse d'un roman, d'un poème, d'une nouvelle ou de tout autre genre littéraire, certains sont bien connus tandis que d'autres le sont moins, passant inaperçus mais pourtant bien là. Réels.

  Le saviez-vous? Tout comme la construction d'un puzzle ou une partie d'échecs, la lecture stimule le cerveau, l'active, faisant fonctionner nos neurones, ralentissant du coup l'apparition éventuelle de la maladie d'Alzheimer ou de la démence grâce à une activité cérébrale régulière. Réfléchir, c'est bon pour la santé...mais pas trop!

  La lecture diminue aussi la tension, le stress, l'anxiété, l'avez-vous expérimenté? Si un article se révèle intéressant, même captivant, nous décrochons du reste, concentrés sur notre seule lecture. Avec un roman dont l'écriture est maîtrisée et la construction solide, nous pouvons atteindre une autre dimension, un univers parallèle, à condition d'aimer cela bien sûr. Lire, c'est bon pour la santé! Réellement.

  Un autre bienfait reconnu et non le moindre, c'est l'amélioration considérable de nos connaissances: notre savoir s'élargit, s'étend, nous devenons des experts, des érudits, des personnes plus que cultivées, chose utile et même indispensable pour les salons de thé ou autres que nous fréquentons...si nous en fréquentons! Et qui dit nouvelles informations pense souvent nouveaux défis. Supermen et superwomen en puissance, nous accroissons aussi notre vocabulaire. Des mots nouveaux pour le langage quotidien, c'est un fameux atout et la confiance en soi s'en trouve renforcée, nos écrits s'améliorant dans la foulée et le champ des possibilités s'étend pour faire notamment carrière dan un secteur où les mots s'avèrent primordiaux. Essentiels et indispensables.

  Nos connaissances et notre vocabulaire s'améliorent, nous venons de le mentionner, mais aussi notre mémoire: pour bien comprendre ce que nous lisons, il nous faut souvent retenir beaucoup de noms, entre autre, et nous nous solidifions le cerveau, de nouvelles synapses se créant et effet régulateur sur l'humeur également garanti! C'est vraiment bon pour la santé, la lecture!

  Est-ce que tout aurait été dit? Non, la lecture a encore d'autres atouts: elle ne manque pas de développer nos capacités d'analyse, nos aptitudes critiques et analytiques. Découvrir qui est le coupable avant la fin? Cela se produit et c'est bon signe! Intuition, clarté et raisonnement au rendez-vous de nos neurones, l'attention et la concentration sur l'intrigue accrues! Vingt minutes minimum de lecture ont, paraît-il, un effet très positif sur la productivité. Lire, c'est réellement la santé!

  Au fait, avons-nous déjà mentionné que la rédaction s'en trouve améliorée? Succinctement! L'écrit se perfectionne, le style se fluidifie, la cadence de moins en moins heurtée par l'utilisation abusive d'adjectifs et d'adverbes en fin de compte inutiles. C'est souvent au cours de la seconde lecture que l'on prend vraiment conscience du superflu: des "donc", des "en fait", des "en effet" alors disparaissent...pour le meilleur!

  Tranquilliser l'esprit? Encore un bienfait de la lecture synonyme ici de relaxation, générant une agréable paix intérieure mais c'est fonction des thèmes évoqués. Un roman au scénario de film-catastrophe n'aura pas les mêmes effets que la lecture d'un roman plus intimiste ponctué de réflexions existentielles.

  Un divertissement? La lecture peut aussi l'être, l'existence de médiathèques, de bibliothèques et de sites de téléchargement en facilitant l'accès qui est souvent gratuit, une aubaine pour le portefeuille! Enfin convaincu de l'utilité - façon de parler - des auteurs et écrivains? Si ce n'est toujours pas le cas, essayez et trouvez ce qui vous convient le mieux par des lectures sporadiques pour commencer, sans jamais vous décourager. Et le saviez-vous? Il existe, pour chaque personne aimant et sachant lire et écrire, un genre littéraire qui captera davantage son attention et activera son imagination. Vous doutez toujours de l'efficacité de la lecture sur votre bien-être? Vous courez alors le risque qu'un jour vous ne ferez plus que lire les notices de médicaments que l'on vous a prescrits. A bon entendeur!

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Dans Partage II

Mes félicitations!, par Thierry-Marie Delaunois écrivain et chroniqueur

Par Le 16/08/2018

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  "Le saviez-vous? Lorsque l'occasion se présente, je ne manque jamais de féliciter un auteur ou un écrivain quant il vient d'être publié, qu'il s'agisse d'un premier ou d'un énième ouvrage et quel que soit la maison d'édition qui a vu dans l'auteur et son ouvrage une opportunité, celle de séduire, c'est-à-dire de vendre. Notamment. Pourquoi? S'il s'agit d'auto-édition ou s'il est publié chez un éditeur à compte d'auteur, quel intérêt y aurait-il à féliciter l'auteur, se demanderont certains? Il n'a pas atteint le Panthéon, le Graal, la qualité requise pour "siéger au sommet", semblerait-il, alors pourquoi?

  Sait-on en fait ce qui se cache derrière toute publication? Ce parcours vécu par l'auteur, parfois un parcours du combattant, jusqu'à la parution de son livre? De l'idée à la publication, il peut facilement se dérouler trois ans, même plus, comment cela se fait-il? La mise en place de tous les éléments, l'histoire, les personnages, le contexte qu'il soit historique ou d'un autre ordre, l'écriture en elle-même, les inévitables corrections, la relecture finale, décrocher une maison d'édition, le processus éditorial menant à la publication, voilà ce que l'on trouve entre l'alpha et l'omega de ce parcours, beaucoup d'énergie dépensée, d'efforts pour assouvir sa passion, et je sais que cela implique aussi parfois quelques sacrifices, en espérant que l'entourage en pâtisse le moins possible.

  Lorsque je félicite un auteur, c'est ce tout que je félicite, cette excitante odyssée émaillée de hauts et de bas, de joies et de découragements passagers jalonnant ce chemin jusqu'à l'aboutissement qui n'est pas toujours ni nécessairement une délivrance. Une libération (nous reparlerons de ceci). Selon moi il faut le faire surtout si l'on exerce parallèlement d'autres activités. "Mes félicitations, cher auteur, pour être parvenu au bout de ton projet. Chapeau!"

  Pas la qualité requise pour "siéger au sommet": idée reçue ou déduction un peu hâtive d'un lecteur qui ne connaît point la réalité du terrain? Ne sait-il pas que le monde de l'édition est tel un univers impitoyable? Que le candidat à la publication se heurte souvent aux nombreuses contraintes éditoriales de maisons qui réceptionnent plus d'une centaine de manuscrits par mois? Les plus importantes maisons à compte d'éditeur, les traditionnelles qui ont pignon sur rue, vivent en permanence le coup de feu, se retrouvant dans l'obligation de trancher dans le vif, le refusé se voit alors contraint de frapper à d'autres portes même si son manuscrit est de qualité tant sur le fond que sur la forme. Et le saviez-vous? Un éditeur peut très bien en un laps de temps relativement court dénicher trente pépites parmi les paquets reçus et se voir contraint, pour des raisons financières notamment, de ne pouvoir publier que cinq d'entre elles et le refusé ne peut s'empêcher de se poser des questions. Ne suis-je pas à la hauteur? Mon manuscrit n'est-il pas suffisamment bon?

  Accepté ailleurs mais sans une réelle mise en valeur, il peut alors se perdre dans la masse et se retrouver peu considéré car publié par une maison reconnue comme relativement souple au niveau de sa sélection, risque dont l'auteur n'est pas toujours conscient et le réveil peut se révéler brutal, les libraires et la presse entre autre jugeant l'ouvrage sans l'avoir lu et c'est la douche froide pour notre héros! Pourtant la qualité y est!

  Quelle conclusion tirer? Il faudrait que le lecteur ne rejette pas d'office un ouvrage parce qu'il n'est pas publié chez "un grand". On trouve du bon, même de l'excellent un peu partout mais n'aboutissant parfois que difficilement dans les rayons et sur les étagères des librairies. Des véritables librairies. Je persévérerai donc à féliciter l'auteur pour sa créativité et l'effort fourni pour atteindre son but et sachez que je connais personnellement pas mal d'auteurs de qualité qui ne sont pas publiés par des maisons d'édition traditionnelles. Qu'on se le dise!"

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